liberté et captivité

On se dit libre ,mais,à la réflexion,il apparaît que nous serions captifs de la matérialité ou des constructions de l'esprit.
Dans le domaine de l'éducation,notre pensée est captive du savoir que l'on nous a inculqué.
Si il y a aucune confrontation avec d'autres formes de pensées ou,même,de raisonnement (eux-mêmes captifs de leurs systémes de pensée),nos limites sont figées dans une bulle indéformable.
Dans le domaine du travail,les dominants obligent les dominés à rester
dans la captivité du producteur qui vend sa force de travail.
Dans le domaine familial,l'enfermement se manifeste par l'obligation de
respecter les normes familiales.
La plus dangereuse captivité est celle que l'on ne ressent pas.N'est-ce pas la négation de la liberté qui entrâîne la captivité?La captivité,sans avoir connu la liberté n'est pas la captivité.
Prenons exemple sur un homme né en prison,qui n' a jamais connu que cet univers,peut-on dire de lui qu'il est captif de la prison ou libre de la prison?
Pour échapper de la captivité de l'éducation ou celle,familiale,il faut prendre contact et assimiler une autre forme de captivité qui peut prendre la forme de dialogues avec d'autres personnes.
Exemple:un professeur qui arrive à partager son savoir à ses élèves.
Une nouvelle arme combat la captivité intellectuelle:c'est internet.On peut le démontrer par les interdictions d'accés réalisées par les pays dictatoriaux.

Peux-t-on vivre sans captivité?
Dans la vie,quoiqu'on fasse,on vit en captivité,on combat celle que l'on
voit mais pas celle que l'on ne ressent pas.
La liberté est le miroir inverse de la captivité celà dépend de quel côté
on est.Si on se met du côté de la captivité,la liberté est une forme de captivité.Et si on se met du côté de la liberté,la captivité est une non liberté.
Est-ce que la liberté peut vivre sans la captivité?
Peut-on vivre complétement libre?